Edwin B. Ruisseay
| Sujet: Edwin le junkie (U.C) Sam 18 Sep - 19:59 | |
| || Identité || © crédit | nom(s) ; Ruisseay prénom(s) ; Edwin Benjamin surnom(s) ; Aucun âge ; 29 ans camp ; Dorian date & Lieu de Naissance ; 08 octobre à Bogota (Colombie) nationalité & Origine ; Nationalité américaine, d'origine colombienne pouvoir ; Peut obliger son interlocuteur à dire la vérité |
|| Character & Physical || physique ;
Je pense que si j'avais pas cette allure de junkie toujours en manque (oui, j'assume), je serais parfaitement insignifiant. De taille normale pour un homme de ma génération, brun, les yeux marrons, un peu typé hispanique (après tout, ma mère était colombienne),... Le genre "Rien à Signaler" quoi... Sauf que mon truc, c'est la came... Du tout, je suis un peu trop maigre (pas beaucoup hein, juste un peu quoi), avec des putains de cernes sous les yeux, et la gueule du mec qui passe pas beaucoup de temps dans la réalité. En plus, je me suis fait tatouer le poitrail y a pas longtemps, histoire d'en rajouter au personnage. Hein ? La croix que je porte autour du cou ? Ah ! Non non, je suis pas croyant, c'est une fausse croix en fait... Une petite cavité avec un peu de coke dedans, juste au cas où... Côté fringues, bah j'aime bien la sappe, donc ça va, j'ai pas trop le look drogué des bas quartiers. Je dirais plutôt que je fais mafieux du 20ème siècle. V'savez, le mec plein de pognon, de flingues et de pouvoir... Enfin, ça marche à fond le style quand j'ai pas trop un tête de cadavre... Sinon, j'me contente d'une paire de jeans et d'un blouson, histoire qu'on me repère pas trop... Ah, pis y a Chuck... Vous pouvez pas confondre. Chuck, c'est le seul de tout Los Angeles à avoir un bandana vert autour du cou... Un rayon d'espoir dans ce monde de fou...
caractère ; chacun sa personnalité. la vôtre? 8 lignes minimum
|| Story Time || histoire ;
Ce qu'Edwin ne sait pas... Edwin tient son nom de son grand-père, un français devenu colombien de coeur à la suite de vacances lors desquelles il a rencontré celle qui deviendrait la grand-mère d'Edwin. Installé à Bogota avec son épouse, Charles se débrouille comme il peut pour subvenir aux besoins de son foyer, jusqu'au jour où il hérite de l'immense fortune de ses parents (tués dans un tragique accident de la route). Dès lors, le Français devient propriétaire de plusieurs entreprises colombiennes afin d'assurer son avenir et celui de sa famille naissante. En effet, Esperanza Ruisseay vient de donner naissance à une jolie petite Armelina, et le couple compte bien agrandir la fratrie. (Ce sera chose faite avec la naissance de Diego trois ans plus tard). Mais le malheur finit toujours par pointer le bout de son nez lorque le bonheur prend trop de place... Lors de la naissance du troisième enfant, un garçon prénommé Arturo, Esperanza meurt, laissant trois orphelins à un homme qui, s'ils les aime profondément, ne sait pas comment s'occuper d'eux. Charles se suicide peu de temps après. La fortune familiale est placée sous la tutelle du frère d'Esperanza, qui s'active à la faire fructifier en attendant la majorité des enfants Ruisseay. Armelina la première récupère sa part d'argent, et en profite pour quitter la Colombie et rejoindre l'Europe, où elle se mariera avec un Espagnol avant d'arrêter de donner des nouvelles à ses frères. Diego et Arturo, eux, restent très proches, vivant ensemble, jusqu'au jour où Diego apprend qu'il est stérile et se pend dans sa salle de bain privée. Pour ne pas mourir de chagrin, Arturo vend toutes les entreprises familiales et s'exile à New York afin d'y commencer une nouvelle vie. Comme son père des années avant, il tombe amoureux d'une jeune femme du pays, Ellen, se marie et commence à fonder un foyer. Le couple donne naissance à un garçon, appelé Charles en l'honneur de son grand-père, un an après leur mariage. Charles Jr grandit en fils unique gâté par son père, qui n'hésite pas à céder à tous ses caprices sans s'émouvoir de sa fortune qui fond à vue d'oeil. Peu après les 16 ans de Charles Jr, Ellen annonce à Arturo qu'elle est à nouveau enceinte. La famille se déteriore avec cette nouvelle. Charles Jr n'accepte pas l'idée de devoir partager ses parents (et leur argent) avec un autre enfant. Il s'enfuit de la maison, sans oublier de voler 1 000 000 de dollars à son père, en liquide., pour rejoindre Dorian et ses Partisans. Arturo est fou de chagrin, mais la douleur de n'avoir pas connu ses propres parents l'empêche de mettre fin à ses jours. Sa femme donne naissance à des jumeaux, qu'elle appelle Edwin Benjamin et Howard Peter. Arturo met tout son argent et tout son temps à l'oeuvre pour se battre contre Dorian et ses partisans, jusqu'à y perdre le moindre sou ainsi que l'usage de ses deux jambes et d'un bras. Un triste jour de décembre, quatre Partisans s'introduise dans la maison des Ruisseay, tuent Arturo de sang froid et violent Ellen avant de la laisser pour morte et de s'en aller comme si de rien n'était. La jeune femme ne survit que quelques instants, juste ce qu'il faut pour s'assurer que ses fils sont saufs et pour appeler une amie afin qu'elle les récupère...
Ce qu'Edwin sait parfaitement... (même s'il l'oublie parfois) Howard est un con ! Bon, revenons-en au début hein. J'ai été élevé par ma tante Rachel, avec mon crétin de frère jumeau Howard. Rachel n'avait pas de mari, pas d'enfant, pas de famille. Juste des chiens, et nous. Je ne me souviens pas trop bien comment on a atterri chez elle, je sais juste (d'après ce qu'elle m'a raconté) que nos parents sont morts quand on était petits à cause de Dorian et qu'elle nous a récupérés pour ne pas qu'on soit envoyés à l'orphelinat de quartier. Quand on a eu 7 ans, on a déménagé à Los Angeles, parce qu'Howie evdnait dingue de vivre aussi près de là où étaient morts nos vieux, comme s'il se souvenait de quelques chose... Bref, Los Angeles, c'était plutôt cool. Tante Rachel aussi était cool... Ah, je me rappelle, quand on était mômes, dès qu'on trouvait un chien errant dans la rue, on le ramenait à la maison. Tante Rachel le soignait, le nourrissait, et il devenait un membre de la famille. Howie et moi n'avions plus qu'à nous battre pour savoir lequel de nous choisirait le nom de notre nouveau compagnon... Le bon vieux temps ! Mais je m'égare là...! Moi, l'école, ça a jamais été mon truc. Dès que j'ai compris que c'était possible, je faisais l'école buissonnière et je me baladais. Aujourd'hui, même les chauffeurs de taxi ne connaissent pas L.A aussi bien que moi ! Je me promenais, mais je restais sage. J'avais pas envie d'attirer des ennuis à Rachel ou lui faire de la peine ; elle se donnait tant de mal pour nous. Puis un jour, on avait 16 ans je crois, ou 15,... Bah Tante Rachel s'est fait écraser par un bus. Le truc super con quoi... Elle promenait Youki et Kroket, les deux nouveaux que Howard avait ramené quelques jours avant (moi, j'avais arrêté les chiens, y en avait trop), Et BAM le bus dans la tronche... On s'est retrouvés tous seuls, Howie et moi, avec la douzaine de chiens de Rachel... Enfin, quand je dis douzaine... C'était sans compter sur la portée qu'a eue Brisby (une petite batarde super gentille) trois semaines après. Howard, il aimait bien s'occuper des chiens. Moi j'aimais bien les bêtes, mais je préférais trainer dehors. C'est comme ça que j'ai rencontré Dwight et sa bande. Pas très malins, mais ils savaient se débrouiller pour vivre sur du pognon. Alors j'ai commencé à trainer avec eux. J'ai commencé à toucher à la poudre aussi... Coke, crack, puis enfin Héro... Ca c'était mortel ! La vie était déjà bien trop dégueu pour moi, j'adorais la sensation que me procurait l'Héro... Il m'en a vite fallu de plus en plus. Alors j'ai commencé à braquer des petites vieilles (en essayant de pas trop penser à Rachel, sinon ça me faisait pleurer en même temps que je leur piquais leur sac)... Enfin bon, on va passer les détails. Toujours est-il que je me suis rapproché de plus en plus des partisans de Dorian. J'avais que ces mecs-là pour tenir debout (et pour être sûr d'avoir ma dope sans risquer d'en manquer)... Ca roulait pour moi, pognon, flingues, dope et gonzesses, jusqu'au jour de mes 19 ans et 3 mois... J'ai attrapé ce foutu don là. Pouvoir obliger les gens à dire la vérité. C'était sympa, mais ça me foutait la trouille. C'est pas marrant d'entendre les gars avec qui tu traines dire que t'es un blaireau, ou que tu leur fous la trouille... Putain, j'en ai descendu des bonhommes à cause de ça. Heureusement que j'ai fini par apprendre à maitriser ce don, et donc à ne pas être obligé de l'utiliser. Des fois, vaut mieux pas savoir... D'ailleurs, j'aurais dû me rappeler de ça le jour où j'ai demandé à Howie ce qu'il avait comme don. Ah, son don, trop marrant, il parle avec les clebards !! Ca lui convient parfaitement, lui l'amoureux des toutous... Mais bordel, quelle idée j'ai eue de vouloir savoir ce qu'il pensait réellement de moi... J'ai utilisé mon don. Et j'ai entendu mon jumeau, mon propre sang, dire que j'étais une merde, un moins que rien, et que je ne méritais pas son estime ou son amour, que j'allais finir mort dans une impasse sans que personne n'en ait rien à foutre... Merde, ça ça fait mal... J'l'aimais moi, mon frangin. J'l'aimais... et j'l'ai descendu ! Comme les autres...! Après ça, plus d'autre choix que de me camer à bloc, et puisque ça a pas réussi à me tuer, j'suis allé rejoindre des types à Dorian, pour oublier... En fin de compte, quand je réfléchis, la seule bonne chose qui me soit arrivée dans ma vie, c'est d'avoir connu Chuck... Mon Chuck, mon seul pote, mon frangin de coeur... Celui qui le touche n'aura pas le temps d'apeler sa mère avant de crever !!! animal de compagnie ; Un dalmatien nommé Chuck plus grande peur ; Manquer d'héroïne
|| Reality || avatar; John Leguizamo pseudo et/ou Prénom; Elsholz âge; 25 ans comment avez-vous connu le forum; by Nobody le mot de passe? ; MDP ok by Noob
|
|